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LES ÉCHANGES - L'EMBALLAGE
Un petit mot sur les emballages lors des échanges. Les collectionneurs
ou les producteurs, plein de
bonne volonté, ne pensent pas toujours à suffisamment
protéger leurs emballages. Il faut savoir que le maniement des lettres
et paquets par les préposés n’est pas en rapport avec le
contenu… J’ai reçu dernièrement des capsules sous enveloppe,
pliées dans une simple feuille de papier. Résultat les
encoches avaient réussi à traverser l’enveloppe et avait
légèrement souffert. N’utilisez pas non plus
de ruban adhésif pour les maintenir. Je viens d’en faire également
l’expérience. Certaines très fragiles
ne supportent pas ce revêtement. Résultat lorsque j’ai
voulu retirer délicatement l’adhésif, la majeure
partie de l’impression est venue avec. Donc poubelle !
C’est toujours désagréable, même si la capsule
n’est pas une rareté. Comment faire alors ?
Il existe plusieurs solutions et bon nombre ont déjà
trouvé la leur.
Il y a la pochette matelassée, mais peut être un peu onéreuse
pour ceux qui pratiquent l’échange de
façon intensive. Il y a aussi l’emballage sous film à
bulles. Pour ma part, j’utilise le dépron. Ce
polystyrène de faible épaisseur (3 à 4 mm) offre
une excellent protection. Celui-ci est vendu en
plaques de 2 ou 3 mètres et je crois me souvenir que les 2 plaques
avoisinent les 6/7 €. Il suffit
ensuite de découper un morceau en fonction du nombre de capsules
à envoyer. Pour faire tenir les capsules, un adhésif double
face est excellent. Refermer avec une couche de dépron afin de parfaire
la protection et le tour est joué. Vous pouvez maintenir le
tout avec du ruban adhésif, des élastiques, etc.
Une simple enveloppe de papier sera alors suffisante pour l'expédition.
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DESCRIPTIF
Une chose importante également, c'est le descriptif de la capsule.
Particulièrement lorsque deux
capsules ont les mêmes couleurs, mais inversées. Exemple
: une noir et or et une or et noir. Je pense
que l’on a tous au moins une fois, cru trouver la « manquante
» et reçu celle que l’on possédait
déjà en x exemplaires. Dans ce cas, on peut citer la
couleur dominante en premier ou bien indiquer
la couleur de l’écriture. Rassurez-vous, les marchands oublient
eux aussi parfois, lorsqu‘ils préparent
leur liste de vente par correspondance, ce petit détail non
négligeable.
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TRANSPORT DES DOUBLES
Une personne débutante m’a demandé dernièrement
comment transporter des doubles avec lui.
Comme la plupart des collectionneurs qui débutent, ils avait
mis ses doubles dans sa poche. Il ne
savait pas que les capsules en vrac risquaient de se rayer. Pour cela
il existe plein de solutions et
encore une fois chacun adopte ou adoptera celle qui lui semble la mieux
appropriée.
Il y a bien sûr la méthode classique de les empiler en
les bloquant dans leur griffe et de les maintenir
à l’aide d’un élastique. Opération périlleuse
pour les débutants… et même pour les autres (j’ai
abandonné pour avoir fait plusieurs fois de très jolis
« soleils » ! Plus rassurante, la boîte à pellicule
photo offre une excellent protection. Par contre ce n’est pas toujours
évident de bien disposer les
capsules à l’intérieur. Les plateaux en plastique avec
couvercle sont peut être la meilleur solution,
compte tenu de leur faible prix (à condition de ne pas avoir
des centaines de capsules en double).
Les plaques de dépron découpées au format A4 et
munies d’adhésif double face sont très efficaces.
Je les ai longtemps utilisées (petit défaut, l’adhésif
récupère tout ce qui traîne : poussières, cheveux,
etc.).
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Les Plaques "AN 2000"
Il semblerait qu’elles aient disparu de la circulation ! Comme
si l’hiver, trop froid, les avait mises
en hibernation. Oh ! elles vont ressortir tôt ou tard. Le problème,
c’est qu’elles sont conservées bien
au chaud et qu’elles vont réapparaître avec des prix prohibitifs.
On appelle ça de la spéculation.
Les An 2000 repiquées vont monnayer au minimum suivant la cote
de M. Lambert. Quant aux autres
cela risque d’être l’envolée des prix. Dommage pour ceux
qui n’en possèdent pas beaucoup.
Dommage aussi pour les autres qui en possèdent beaucoup et dont
les manquantes sont les plus rares. Dommage enfin pour les collectionneurs
en général, car nous ne sommes pas que des vaches à
lait.
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